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 Hiro Jishun [en construction]

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AuteurMessage
Hiro Jishun




Sexe : Masculin
Nombre de messages : 1
Age : 30

Feuille de personnage
Objectif(s): la liberté
Particularité: une solitude nette et détachée
Classe en cours:

Hiro Jishun [en construction] Empty
MessageSujet: Hiro Jishun [en construction]   Hiro Jishun [en construction] Icon_minitimeVen 21 Aoû - 17:35

Nom : Jishun

Prénom : Hiro

Age : 17 ans

Sexe : Masculin

Orientation sexuelle : hétérosexualité même si il n’est pas vraiment intéressé par une relation quelconque …

Taille : 1m67

Poids : 42 kilogrammes

Alignement : Rose bleue

Equipement possédé : Une cape d’hiver, en toile noire doublée de coton et de laine blanche, volée. Un poignard de trente centimètres sans fourreau qu’il dissimule sous sa chemise, il appartenait à son père. Un chapeau en jonc tressé, volé lui aussi.

Description physique et morale : Hiro est un adolescent de taille moyenne à la musculature peu développée et au physique clairement maigre. Son visage aux joues creuses et au teins pâle est encadré de long cheveux d’un noir de jaie, seule partie de lui-même dont il semble prendre un peu soin. Ses yeux bleu foncés sont soulignés de longues cernes, qui donnent à son regard une ampleur inquiétante. La plupart des gens deviennent nerveux lorsqu’il les fixes.
Quand il marche Hiro a le dos voûté et la tête penchée vers l’avant de telle sorte que ses cheveux masquent ses yeux. Sa démarche est assurée et fluide, témoignant de son agilité. Ses mouvements sont discrets et rapides, ses pas silencieux, il peut donc passer inaperçu au milieu d’une foule. Il n’aime pas la lumière forte, se déplace la plupart du temps la nuit.
Hiro n’aime pas se battre, mais sait se débrouiller en combat grâce à son extraordinaire agilité et à sa connaissance acquise malgré lui dans ce domaine, au sein des quartiers sombres où il a grandit.
Ses vêtements sont toujours dans le même style : chemises blanches sans col, toujours trop grandes pour lui, dont les manches et le bas lui tombe à mi-cuisse ; pantalons de toile noir ample resserrés aux cheville et à la taille par des cordons ; souliers de tissu renforcés au bout et à la semelle par du cuir épais mais souple, qui lui sont très utile pour marcher silencieusement.

Le caractère de Hiro est un vrai mystère, ceux qui le connaissent se comptent sur les doigts d’une seule main. Ses réactions sont imprévisibles, et les gens à qui il a déjà adressé la parole le considèrent comme lunatique. Il ne montre d’attachement qu’à une seule personne, et n’accorde pas plus sa confiance. Il n’a peur de personne, et respecte bien peu de monde.
Hiro est observateur, et ce qu’il n’accorde pas aux autres il le donne volontiers à ce qui l’entoure, se montrant curieux envers tout environnement. Il sait faire preuve de logique et de raisonnement, et cherche tout le temps à parfaire ses connaissances. Un fait important : il a apprit à lire et à écrire ainsi que beaucoup d’autres choses quand il avait dix ans, auprès d’une jeune femme qui vivait près de chez lui.

Histoire :

*FLASH*
Un cri, un cri court, une voix de femme.
*FLASH*
Père qui rentre du bar, Maman qui le regarde avec de la colère.
Père s’énerve et se met à crier, Maman crie aussi. Papa lève sa main droite, Maman a mal.
*FLASH*
Père n’est toujours pas rentré, Maman s’inquiète.
*FLASH*
Un étalage de fruit au marché, envie. Course, croche-pied, goût de la poussière. De gardes, des coups. Douleurs, et rien.
*FLASH*
Maman tombe, Père ne dit plus rien. Maman ne bouge plus. Cours, trébuche, pleure. Maman ne bouge plus.
*FLASH*
La nuit. Une auberge, des hommes devant. Beaucoup d’hommes, et des cris, de joie et de peine. La salle, lumière, forte lumière. Encore des cris. Une grosse ombre, une grosse voix.
Père qui rentre en courant, prends par le bars et tire.
*FLASH*
Une grande maison, une grille et des murs. Escalade, vu sur le parc. Une fille. Puis des gardes. Fuite.
*FLASH*
Aya, des lettres, des images. Aya, le feu, la chaleur. Bonheur.
*FLASH*
Père se bat. Beaucoup d’homme, trop. Père tombe. Père ne se relève pas. Course et pleurs.
*FLASH*
Père au devant, un couteau et un long rire.

Hiro se réveilla en sursaut. Un rêve… Cet enfoiré était bien mort.
Il resta un instant assis sur sa natte, portant son regard sur les murs grisâtres de sa maison éclairés par le soleil. Un moineau s’engouffra dans la pièce par le carreau cassé, et se mit à virevolter à hauteur du plafond.
« Bonjour, oiseau-san » dit-il d’un ton neutre. Il tourna la tête vers la fenêtre à sa droite. Le jour se levait, emplissant le ciel de couleurs. « La journée va être belle… Il n’est pas encore temps de se lever ». Et il se recoucha. L’oiseau se percha sur une poutre, et ne fit plus de bruit.

L’homme s’avança dans la rue d’un pas rapide. Hiro Le suivit, marchant silencieusement dans l’ombre d’un pan de mur. Au premier carrefour, l’homme se retourna, et regarda derrière lui Hiro s’immobilisa et cessa de respirer. Sa cible se retourna, et reprit sa marche.
La lune était levée depuis longtemps, et éclairait la nuit de sa pâleur blafarde. Les rues étaient désertes et silencieuse, mis à part aux alentours des tavernes, où la lumière et les cris joyeux s’échappaient par les fentes des volets de bois. Une nuit comme toute les autres, une nuit de sortie pour Hiro.
L’homme s’immobilisa encore, au coin d’une échoppe cette fois. L’enseigne métallique grinçante indiquait une droguerie. Après s’être retourné et avoir examiné les envions, il leva le bras et s’apprêta à frapper à la porte. Non ! Hiro s’élança vers lui à toute vitesse, ne se souciant plus d’être discret. Il saisit le bras de l’homme, et lui tordit brusquement en le ramenant en arrière. En même temps, il passa son bras gauche sous l’épaule de l’homme, puis le rabattit sur la nuque où il posa sa main fermement. « Si vous bougez ou hurlez, je vous tue.» dit-il d’une voix glaciale. Le tout n’avait pas prit cinq secondes, et l’homme tremblait. C’était facile. « Vous avez une bourse, messire…
-Je… Je ne vois pas de quoi vous voulez parler… dit l’homme d’une voix tremblante.
-Ne jouez pas avec le feu, Je peux être dangereux ! »
Alors, l’action prit un cours que Hiro n’avait prévu. L’homme plia son bras gauche, et saisit le poignet gauche de Hiro. La pression fut insupportable, et il dut lâcher prise. Débarrassé de ce fardeau, l’homme se contorsionna, se retourna, et bientôt la situation se retrouva complètement inversée. Hiro se retrouvait en infériorité. L’homme dont la voix tremblait affichait maintenant un sourire satisfait et su de lui, tandis que la prise sur les poignets de Hiro se raffermissait. « Jeune homme, le vol et le truandage sont des mauvaises actions. Ton karma te rattrapera un jour, tu devrais faire pénitence … ». Il détailla Hiro d’un coup d’œil, puis il le relâcha, et glissa une main dans la poche droite de son kimono. Hiro se raidit, prêt à détaler. Mais l’homme sortit une bourse, et lui dit : « Attrapes ! Et cesse de me filer. ». Il lança la bourse en l’air, et Hiro l’attrappa au passage. Il la soupesa, elle était pleine de pièce ! L’homme le regarda une dernière fois, puis se retourna, et toqua à la porte.
Alors Hiro s’enfuit avec son butin sans un mot.
Tout de suite après le départ du garçon, la porte s’ouvrit, et on fit entrer l’homme. « C’est à propos de quoi ?
-De la fille de Kajyo, mlle Aya… »

Hiro courait, sans se retourner il courait, haletant et déchiré. Cet homme… il le haïssait, il s’était fait humilié. Mais la chaleur de sa colère fut vite apaisée par la fraîcheur de la nuit. Sa course le mena droit chez lui, sans refaire les détours qu’il avait emprunté au cours de sa filature. Il s’arrêta sur le seuil : une lumière de chandelle brillait à l’intérieur, éclairant le palier de dessous la porte. Il hésita, puis poussa la porte doucement. Une jeune femme l’attendait à l’intérieur en lisant un manuscrit à la lueur de la chandelle. En le voyant rentrer, elle leva ses grands yeux noirs vers lui, et se releva précipitamment. « Hiro …
-Mlle Aya ! Que faites vous debout à cette heure ?
-Eh bien, je te retourne la question. Tu rentres bien tard… Je suis venu te voir pour te donner ceci » Elle lui tendit le manuscrit d’un geste vif. Il jeta un regard dessus. « Qu’est-ce que c’est ? » demanda-t-il en haussant un sourcil ?
-Les histoire de Kaze, un samouraï de l’ère sengoku. Il a vécu bien avant le retour à la Pangée.»
Hiro s’inclina bien bas en la remerciant. « Tu n’es pas venu me voir aujourd’hui. Nous étions pourtant vendredi...
-Je vous demande de m’excuser… j’ai passé la journée à dormir.
-Hiro, tu passes donc tes nuits dehors ? Il n’y a pas de vie au dehors passé minuit. »
Hiro détourna le regard, l’air interdit.
« Pourquoi ne cherches-tu pas du travail ?
-J’ai déjà essayé, sur les docks, au service du comte, même auprès d’un muletier et d’un tanneur ! Tous m’ont répondu la même chose : Que mes faibles bras et mes airs de vagabond n’intéresseraient personne. » Il baissa le regard. « C’est à vous faire renoncer d’être honnête…
-Non Hiro ! NON ! Je ne te laisserais pas dire ni faire une chose pareille. »
Hiro s’excusa, et invita Aya à prendre un thé. Il se dirigea vers la commode, seul meuble de la pièce avec la table et sa paillasse, et en sortit une théière et deux tasses en terre. Il fit du thé, et ils discutèrent tous les deux jusqu’à la fin de la nuit. Puis mlle Aya décida de rentrer chez elle. Elle se leva, et Hiro l’accompagna jusqu’à la sortie et au pieds de l’escalier qui montait chez lui. Puis il remonta. Il se mit à compter les pièces contenus dans la bourse arrachée à l’inconnu. La manière dont il l’avait obtenue le révulsait, mais il était trop pauvre pour cracher dessus. Il se fit donc violence et se mit a faire des petites piles.

Soudain, un cri de femme retentit au dehors. Il n’y prêta d’abord pas attention, ce genre de situation était fréquent dans le quartier. Mais quand il entendit hurlé son nom, il se précipita dehors. Dans la rue, des hommes vêtus de kimonos noirs et masqués tentaient d’immobiliser et de traîner une femme. « AYA ! » cria Hiro, en dévalant l’escalier à toute allure. Il s’arrêta brusquement, l’air horrifié. Les hommes traînaient mlle Aya vers une voiture à chevaux, à côté de laquelle se tenaient un homme qu’il avait déjà vu, pas plus tard que la nuit même : c’était l’homme qu’il avait attaqué ! Celui-ci se tenait droit et calme, souriait légèrement. Au cri de Hiro il avait levé les eux, et il le regardait maintenant. « Tiens donc ! Mon jeune ami ! Comme on se retrouve. Va-t-en ! Occupes-toi de tes affaires, et plus jamais de celles des autres. »
Avec un cri de rage, Hiro se précipita sur les hommes qui tenaient Aya, mais un grand gaillard resté dans l’ombre et que Hiro n’avait pas aperçu sorti soudain armé d’un énorme gourdin. Hiro eu juste le temps de se jeter à terre au moment où le géant frappait. L’arme passa quelques pouces au dessus de sa tête, et il entendit l’air qu’elle déplaçait. Le temps qu’il se relève, et le groupe d’homme avaient déjà amené mlle Aya au niveau de la voiture. « NON ! » hurla-t-il, voulant se précipiter vers elle, mais son adversaire s’interposa et le prit par le col.
Il le souleva de terre en riant. Il brandit son gourdin, et frappa. Hiro défaillit.
Il eu juste le temps d’entendre Aya lui crier « Va chercher mon père ! Va chercher Kajyo en Eden ! » Avant de s’évanouir.

Il se réveilla au petit matin, au milieu de la rue déserte, avec un goût de sang dans la bouche et d’impuissance dans le cœur. Il se releva précipitamment, étira ses bras et son dos endoloris, et se précipita chez Aya. La porte était entrouverte à son arrivée. Craignant une attaque, il la poussa du pied en gardant ses distances. Mais il n’y avait personne. L’intérieur était saccagé. Les étagères de livres, la table et les chaises, les tiroirs et rangement, tout. Des papiers traînaient partout, et des chandelles roulaient sur le sol. Il remit vite quelques objets en place, redressa les étagères.
Soudain son œil fut attiré par un objet sur le sol. Il le prit : il s’agissait d’une carte du monde sur parchemin, qu’il avait déjà examiné avec mlle Aya. Il se rappela de ce qu’elle lui avait crié avant qu’il ne tombe. L’Eden… Le paradis des roses bleues. Il sorti en courant, emportant la carte avec lui. Je la rapporterais. Il courut chez lui, attrappa ses souliers et sa cape ainsi que le poignard de son père rangé dans un double fond de la commode. Il mit le tout dans un sac de toile, verrouilla les fenêtres et la porte, et se mit en route. Il courut dan la ville en lumière, un bras sur son front pour se protéger du soleil. Il arriva sur la place d’un marché. Il bouscula des personnes, perdit l’équilibre et tomba. Les gens autour protestèrent énergiquement, et personne ne le releva. Il se remit debout, et reprit sa course. Passant devant l’étal d’un rempailleur et voyant un chapeau tressé, il s’en saisit et disparut. Ce chapeau était son passeport de jour, il pourrait le porter pour se protéger du soleil.

Il quitta la ville et marcha pendant des heures. Il traversa trois villages indifféremment.
Le soir tombant et en l’absence de lanterne, il décida de s’arrêter. Il sortit sa cape, se mit sur le bas côté de la route où on ne pouvait pas le voir, et s’endormit.
Le lendemain matin, réfléchissant à ce qu’il faisait, il se vit remplit d’une froide détermination. Mlle Aya avait été enlevée, et elle lui avait demandé de trouver son père. La raison lui importait peu, la seule personne importante à ses yeux était en mauvaise posture. Il n’allait pas la laisser ainsi. Il se leva, remballa ses maigres affaires et se remit en route. Il voyagea ainsi pendant onze jours, volant dans les villages de quoi se nourrir car il voulait garder le contenu de la bourse de l’inconnu. Au bout de ces onze jours, il arriva enfin en Eden.
[la suite en cours d'écriture ... Joke ]
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