Nom : Tora
Prénom : Homme
Surnom éventuel : x
Âge : 19 ans
Sexe : Homme
Taille : 1m89
Poids : 72kg
Couleur des yeux : Jaune, qui vire au marron
Couleur des cheveux : Noire
Orientation sexuelle : Homosexuel
Animal dont il peut revêtir la forme : Tigre noir, rayé blanc
Parti : Shangri-La
Objets possédés :
.Une arme en forme de pistolet qui fonctionne par la magie
.Un collier
Description physique :
Kigaru est un homme qui fait un peu plus vieux que son âge. Il est grand, la peau blanche. Cependant, comme il aime passer du temps dehors, elle a prit une teinte plue mat.
Ses cheveux noirs sont le plus souvent laissés en bataille. Kigaru ne voit pas l'intérêt de les coiffer, et il trouve que ça lui donne un "genre".
Ses yeux sont jaunes, qui virent au marron quand il est exposé au soleil.
Lors de ses missions, Kigaru change de vêtements pour passer le plus inaperçu possible. Ainsi, s'il doit aller au Palais, il s'habillera mieux que s'il doit se fondre dans le peuple.
Autrement, en temps normal, le jeune homme porte des vêtements de lin blanc chez lui ou en toile quand il doit sortir. Des couleurs plutôt pâles lui permettent le plus souvent de passer inaperçu. En effet, il tient à rester discret et donc, cela passe aussi par sa manière de s'habiller.
Description morale :
Kigaru préfère obéir à ses propres valeurs. Ainsi, il se fiche un peu de savoir qui est l'objet de ses missions. Son métier l'a rendu cynique et froid. Il s'oblige à ne pas avoir de sentiments, à ne pas s'attacher aux gens. Ainsi, il garde peu de relations stables ou "profondes".
Ce jeune homme n'est peut-être pas très intelligent, il n'a pas le QI d'Einstein, mais il n'en reste pas moins vif d'esprit et logique. Il a une certaine manière de se sortir de situations difficiles que ça devrait, selon lui, forcer l'admiration.
Cependant, Kigaru n'est pas non plus un être méchant. Il aime bien trainer dans les rues, parler à des inconnus, les écouter raconter leurs vies. Ainsi, il en arrive quelques fois à en oublier ses propres soucis.
Histoire :
Kigaru est né et a toujours vécu dans Shangri-La, et ne compte pas en partir. Il a grandit en tant que fils unique. Ses parents n'étaient pas très riches. Sa mère s'occupait la plupart du temps de lui, lui donnant une éducation étant donné qu'ils n'avaient pas les moyens d'aller à l'école.
Son père travaillait dans les champs. Un jour, quand Kigaru avait une petite dizaine d'années, alors qu'il moissonnait le blé, une rixe éclata. Il se prit un poing dans la tête, perdit l'équilibre et tomba. Sa tête heurta une faux. Les autres étaient trop occupés à séparer les combattants pour faire attention à lui. Il mourut rapidement.
Kigaru se retrouva donc seul avec sa mère. Celle-ci réussit finalement à se faire engager au Palais. C'était le seul moyen pour elle de gagner de l'argent. Cependant, c'était à contre-cœur car elle devait laisser seul Kigaru. Elle trouvait bien quelques amies pour qu'elles le garde, mais le garçon trouvait toujours le moyen de se faufiler au-dehors. Il passait ainsi ses journées dans les ruelles de la ville. Il s'attira la sympathie des gens.
Quelques semaines plus tard, sa mère disparut. Le jour suivant, un homme d'une trentaine d'années vint voir l'orphelin. Il s'appelait Kakueru. Sans savoir pourquoi, Kigaru lui fit confiance. Peut-être était-ce parce qu'il était complètement désorienté par la disparition de sa mère.
Ils partirent à travers tout le pays durant une demi-douzaine d'années. Kakueru s'occupait de Kigaru comme de son propre fils. Il poursuivit les efforts de sa mère concernant son éducation. Il lui apprit aussi plusieurs techniques pour passer inaperçu, chaparder en toute discrétion.
Un jour, alors qu'il dormait, des voix le réveillèrent. Il se leva et aperçu Kakueru qui semblait se disputer avec deux autres hommes. Apparemment, les étrangers étaient en colère car Kakueru aurait raté sa mission. Celui-ci sortit alors une arme, les prévenant qu'il tenait toujours parole. Apeuré par l'attitude menaçante de son mentor, il étouffa peu silencieusement un cri. Alerté, Kakueru congédia rapidement les deux hommes. Il rattrapa Kigaru et ils passèrent le reste de la nuit à discuter. Kakueru lui avoua alors son véritable métier : il était tueur de gage. C'est grâce à cela qu'ils pouvaient vivre. Au début, Kigaru avait du mal à accepter le fait que Kakueru tuait pour vivre. Mais à force de discuter, son mentor le convaincu.
C'est ainsi que Kigaru s'entraîna à se battre. Peu à peu, Kakueru lui fit par de ses missions. Kigaru se mit à penser comme lui. Après tout, c'est vrai que c'était dur de trouver de l'argent. Et puis, au moins, quand il tuait, il ne faisait pas souffrir les gens, contrairement à la guerre qui faisaient des ravages et parfois torturaient les gens.
Kigaru s'habitua à ce nouveau mode de vie. Puis arriva le jour où Kakueru lui proposa de l'accompagner dans une de ses missions. Kigaru accepta. Il eut du mal à supporter le fait de voir l'homme mourir devant ses yeux. En entendre parler, c'est une chose, y assister en est une autre.
Quand ils furent de retour chez eux, Kakueru vint le voir dans sa chambre, et tenta de le réconforter. Ils passèrent la nuit ensemble (sans rien faire !). Kakueru l'embrassait de temps en temps, le caressait mais n'allait pas plus loin. Kigaru qui n'avait pas vraiment de modèle à par son mentor depuis des années, ne voyait rien qui pouvait être gênant dans cela.
Commença alors une autre étape. Kigaru apprit à mettre de côté ses sentiments, à ne rien ressentir au cours de ses sentiments.
Puis il y a deux ans, Kigaru partit, avec le consentement de Kakueru. Kigaru retourna dans la région de son enfance. Il n'a presque plus de contact avec Kakueru.
Aujourd'hui, il a quelques clients réguliers, et gagne bien sa vie. Cependant, il n'étale pas sa richesse, d'une part pour ne pas éveiller les soupçons sur ses occupations, d'autre part, il ne veut pas oublier d'où il vient.
En parallèle, au cours des dernières années, il s'est mis à fréquenter des auberges pour oublier ses missions, car malgré tout, ce n'est pas rien ! Et c'est ainsi qu'il s'est mis à fréquenter des hommes. En toute illégalité et discrétion.